La pratique de l’activité physique dès le plus jeune âge, et avec régularité, est bénéfique pour la santé.
L’activité physique chez un patient porteur de la maladie de Parkinson contribue par la stimulation de l’activité cérébrale, des systèmes musculo-tendineux, mais également cardio-respiratoire, à freiner l’évolution, à réduire les symptômes et la consommation de médicaments.
Source : ordremk.fr