Dans la maladie d’Alzheimer, des troubles du sommeil surviennent bien avant que le diagnostic n’ait été posé. Sont-ils causés par les toutes premières étapes de la maladie, ou sont-ils au contraire un facteur de risque, qui favorise la neurodégénérescence ?
Pour explorer ces questions, des chercheurs du GIP Cyceron, à Caen, ont étudié les modifications du sommeil paradoxal, associé aux rêves de personnes âgées, ainsi que la présence de dépôts neurotoxiques dans leur cerveau.
Source : inserm.fr