Avec le Dextrain Manipulandum, issu de leurs travaux à l’Institut de psychiatrie et neurosciences de Paris, Påvel Lindberg et ses collègues enrichissent la rééducation de la motricité fine : jusque-là purement fonctionnelle, celle-ci se dote désormais d’un instrument de mesure quantitative pour évaluer et exercer les cinq composants clés de la dextérité.
En complément, les dernières avancées de la neurologie et de la neuro-imagerie permettent de tirer le meilleur parti de la plasticité cérébrale des patients.
Source : inserm.fr