Un membre de la famille d’un malade d’Alzheimer, si celui-ci n’est plus en mesure d’exercer un discernement et un consentement libres et éclairés, peut-il demander que la sédation profonde et continue jusqu’au décès ?
Saisi par le proche d’un résident d’Ehpad, l’espace de réflexion éthique de Nouvelle-Aquitaine s’est associé au comité éthique de France Alzheimer pour réaliser un avis de portée générale, coordonné par le professeur Roger Gil.
Source : agevillagepro.com