Parmi les pistes de prévention de la maladie de Parkinson, l’activité physique est régulièrement évoquée, mais les études n’ont jusqu’à présent ni permis d’éliminer certains biais ni d’étudier son rôle spécifique chez les femmes.
Des chercheurs et des chercheuses de l’Inserm, de l’université Paris-Saclay et de l’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) avec Gustave Roussy, ont étudié, au cours de 29 ans de suivi, l’impact de l’activité physique sur le développement de la maladie de Parkinson chez près de 100 000 femmes de la cohorte française E3N.
Source : inserm.fr